🌵  De l'échec au succés 💪

Pour faire simple je suis éjaculateur précoce depuis que j'ai 18 ans, a 27 ans je ne le suis plus du tout ... voici mon parcours resumer en quelques lignes, donc au début, j’étais plutôt dans le déni ( c’était sans doute un peu trop dur à accepter ), et mes chances de succès étaient minces. Je vous rappelle qu’à l’époque ( année 90), le sujet était encore plus tabou qu’aujourd’hui et que YouTube, et même Internet, n’existait pas...

J’étais donc un peu livré à moi-même. J’aurais pu, peut-être, consulter un sexologue, mais j’étais méfiant et pas très enclin à en parler. De plus, la seule sexologue du coin, à 50 km à la ronde, était une femme ( et je me voyais encore moins en parler à une femme )...

J’ai donc laissé traîner le problème en espérant qu’il se résoudrait bien par lui-même ( peut-être 🧘🕊️ ). Mais malgré tout, j’ai continué à vivre ma vie, à me tourner vers la spiritualité, à voyager, à chercher des réponses à des questions existentielles légitimes... sans vraiment adresser mon véritable problème ( mon seul et unique vrai gros problème, à vrai dire a l'epoque ).

Les années ont passé : une, puis deux, puis cinq… jusqu’au jour où, en working visa au Japon, une amie japonaise  ( qui était fort jolie ) m’a fait comprendre que je ne la laissais pas indifférente. Et au lieu de profiter de cette bénédiction, j’ai commencé à me dire que, de toute façon, je ne serais sûrement pas à la hauteur, qu’elle serait peut-être déçue... et j’ai préféré décliner poliment son invitation.

Mais un mal pour un bien : ce fut finalement la goutte d’eau qui fit déborder le vase.

Je ne supportais plus de vivre un seul instant sous cette chappe de plomb. Je commençais à prendre conscience de toutes les répercussions pernicieuses et du cercle vicieux qui se maintenait malgré moi. Non seulement je pensais être incapable de donner du plaisir correctement à une femme, mais en plus, je commençais à les éviter. Ma confiance en moi déclinait.

C’est à cet instant, dans cette ruelle calme et propre, bien éclairée comme il y en a des milliers au Japon, en voyant s’éloigner la silhouette de cet être cher, que j’ai compris que ma vie devait changer à 200 %.

Mais entre ma volonté naissante et tous les obstacles qu’il me restait à surmonter, je n’étais qu’au début du chemin. Mais comme le dit si justement un vénérable sage chinois :

 "Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas."

Ça tombait bien : je décidais de quitter le Japon et ses trop nombreuses sublimes femmes pour la Chine. En bateau d'abord, d’Osaka à Shanghai, puis je traverserais la Chine d’est en ouest en un éclair, jusqu’au sublime plateau du Tibet, qui m’aidait à oublier un peu ma peine… que dis-je, ma souffrance.

Et encore, il y avait celle dont j’avais conscience, et l’autre, plus intérieure, inconsciente, qui me rongeait également de  l interieur et m’échappait encore...

Mais arrivé au Népal, un événement heureux allait temporairement courber la ligne de mon destin. Cet événement avait un prénom : Stéphanie.

C’était une douce Américaine, un peu hippie sur les bords, mais dont le père avait tout de même fait Harvard, si je me souviens bien. Notre rencontre s’est faite un peu magiquement et avec douceur sur les marches des grandes stupas de Durbar Square, à Katmandou...

Alors non, ça n’a rien changé. Malgré les prouesses et la tendresse de Stéphanie, j’étais toujours en proie au même problème. Mais elle ne m’en tenait pas rigueur, elle m’encourageait même à progresser et me donnait des conseils. En bref, un ange qui change la vie.

Ça m’a aidé, sans doute, à croire que je pouvais y arriver, que je pouvais rencontrer des femmes, et que certaine meme comprenais mon probleme, et ne me jugerai pas ou plus… Un véritable game changer ! qui m'ouvrait de nouveau horizons

Puis, lors d’un autre voyage en Inde, une autre femme décisive est entrée dans ma vie : Nora, une Irlandaise de 12 ans mon aînée. Elle était superbe et, sans aucun doute, bien plus expérimentée que moi. Elle aussi a su me rassurer, me calmer, me parler… et ça m’a énormément aidé, de plus elle avait enormement de facilité a jouir, il me suffisait juste de la penetrer moins de 2 minutes pour qu'elle y arrive ( apres les preliminaires bien sure ) c'etait tres bon pour mon ego et ma confiance en moi ...

Je sentais que j’étais sur la bonne voie, mais j’étais encore au tout début…

Malgré tout, mes progrès ne me satisfaisaient pas complètement. Cependant, je savais que le contact de ces deux femmes extraordinaires, pleines de bienveillance et de patience, m’avait permis de retrouver un peu confiance en moi.

Quelque chose s’était passé, mais je ne savais pas trop quoi, mais au loin une etoile briller a l'aube d'un nouveau jour.

Il m’a encore fallu quelques années, où je n’ai pas hésité à fréquenter certaines maisons closes de Bangkok ( et oui ), en Thaïlande. Là encore, ça m’a fait du bien, ça m’a aidé à progresser… ( voir ma video sur le sujet )

Enfin, en voyageant en Amérique du Sud, en visitant ici et là quelques bars de strip-tease et avec l’aide de produits plus ou moins licites, j’ai enfin décroché le Graal.

Un soir, avec une jeune Brésilienne de mon âge – sympa, cool et sexy – dans le petit village de Trancoso, j’ai senti, pour la première fois, que je maîtrisais beaucoup mieux mon sujet...

Je venais de franchir le Rubicon.

Je n’étais plus éjaculateur précoce, le lendemain les murs blancs de la petite eglise au centre du village eclatant sous le soleil de fevrier me rappeler le miracle qui avait eu lieu sous mes yeux, pendant la nuit, une ressurection, un miracle, un mirage, temporaire ? reel ? cela etait t il vraiment finie ?

Il m’a fallu encore près de six mois pour le confirmer et être sûr que c’était définitivement terminé.

Ce délai de six mois est très intéressant à analyser : malgré des succès réels et incontestables, je n’ai vraiment commencé à y croire que six mois après mes premiers succès incroyables temporalité qui en dit long sur cet pathologie.

Une dernière chose...

Mon parcours a été un peu chaotique et, surtout, il m’a pris du temps. Et encore, j’y ai mis énormément d’énergie et parfois pris des risques inconsidérés ( je ne vous raconte pas tout, c’est un résumé 😉 ).

Je ne le regrette pas, bien sûr.

Cependant et honnetement ( voir ma video sur ce sujet ), ce cheminement n’est pas le plus facile qui soit, et je vous conseille de vous faire aider. Vous n’êtes pas obligé, mais si vous voyez que vous n’avancez pas seul, alors il faut être raisonnable et lucide.

👉 Peut-on s’en sortir seul ?
✅ Oui, bien sûr ! (La preuve.)

Mais... ça m’a pris des années (et j’étais à fond) j'ai affronter des dangers, j ai croisé des lames de couteau, j'ai pris des risques inconsideré.

Si vous stagnez après 6 mois à 1 an, il est vivement conseillé de se faire aider. Je ne dis pas ça pour me vendre je dis ça parceque je le crois dur comme fer, ça ne coûte pas cher et ça vous donnera surtout une bonne longueur d'avance, une direction, une stratégie, un plan d’action où vous ne pouvez que progresser et gagner de nombreuses années inestimable de bonheur ( et j insiste sur le mot inestimable ).

Et c’est pour cela que j’ai décidé de tout partager avec vous :

👉 Mes découvertes,
👉 Mes doutes,
👉 Mes échecs,
👉 Mes réussites,
👉 Ma vision après 20 ans d’étude et de compréhension de l’éjaculation précoce.

Vous pouvez retrouver tout cela dans mes vidéos sur les réseaux, ou de manière plus approfondie dans mes formations, consultations et ouvrages, mon approche est originale, novatrice, ici pas de fausse promesse on est les deux pied sur terre est on dit la verité directement, sans langue de bois ni fausses promesses.

Il y a mille façons de sortir de l'éjaculation précoce, certaine fonctionne mieux que d'autre, certaine fonctionne mieux pour certaine personne, d'autre moins, il est important de rester ouvert d'esprit de garder cette esprit d'aventure de tenter des choses, de prendre des risques, on a jamais été aussi pret de percer tout les secrets de l'ejaculation 🤫.